A propos du troupeau !

à la rencontre des aurochs d'Orok !!!

Aurochs made in live

Photomontage de Salim, chanteur et guitariste d'Orok, sur scène ou en répétition !

Salim

Chanteur Guitariste

Je fais de la musique depuis 30 ans dans l’objectif de partager mes points de vue !

J’écris et compose de nombreux textes et musiques avec une écriture souvent militante, traitant de sujet de société ou personnels douloureux.


Guitariste au départ, je m’épanouis dans la découverte d’autres instruments. J’aime également m’enrichir de nouvelles sonorités, que je trouve à travers le monde, sans aucune discrimination.

Les multiples influences fusionnent pour donner un nouveau style, une nouvelle respiration à la musique générée par Orok.

Dessin tête de vache jaune
Photomontage de Guillaume, batteur d'Orok, sur scène ou en répétition !

Guillaume

Batteur

Né d’un papa musicien, accordéoniste et pianiste, j’ai eu l’immense chance d’accéder à la salle de répétition de l’orchestre tout petit. Attiré par ce rigolo et bruyant instrument dès mes 3 ans, j’ai immédiatement agrippé les baguettes pour faire mes premiers fill !

Ce plaisir ne m’a jamais quitté et après 6 années ennuyantes de pur solfège, enfin le graal a 14 ans : l’achat de ma première batterie et mes premiers cours au conservatoire.

 

Attiré par la culture rock, très vite, j’intègre des groupes de copains-musiciens pour tenter de reproduire le son de nos idoles (Nirvana, Offsprings, Metallica…..). Et pendant 5 ans, la musique s’articule entre repet’ et concerts.

A 20 ans, départ pour la Savoie, pour une nouvelle vie, mais en appart, pas moyen de ramener la batterie si je veux entretenir des relations amicales avec les voisins !

C’est le début de la longue trêve musicale, où je ne vais plus toucher mon instrument pendant 13 ans !

 

Pour autant, j’y pense toujours, et à 32 ans, bonheur ! C’est le déménagement sur Saint Genix dans une grande maison et sans voisin, le rêve… Ma première batterie est rapatriée dans ma nouvelle salle de repet. Le kiff absolu.

Je fais de nouvelles rencontres et intègre un groupe sur Bourgoin, typé Pop/Rock où l’on reprend des tubes. Je reprends enfin mes repères de jouer à plusieurs.

Difficile de combiner sommeil, enfants et entraînements de batterie le soir. Je me dote donc d’une super Roland TD25kv (électronique) qui fera le bonheur de tous.

 

Un soir de fête de la musique 2018 chez Pascal, en plein bœuf, je fais la rencontre musicale de Salim et Stéphane, notamment. Il se passe quelque chose de fort, qui nous pousse à vouloir rejouer ensemble.

On fait quelques répétitions pour refaire une soirée ici et là. C’est les prémices du groupe Orok.

Le plaisir de cette formation, au delà des super musiciens qui la compose, c’est son côté minimaliste qui offre beaucoup d’espace et de liberté. Notre registre large et variés de compositions, me pousse dans des découvertes, des recherches de style ou de sonorités.

C’est une incroyable aventure humaine et musicale.

Dessin tête de vache verte
Photomontage de Sthéphane, bassiste d'Orok, sur scène ou en répétition !

Stéphane

Bassiste

Eveillé au son de la guitare et du chant d’un papa qui à brulé les planches à l’époque de « Salut les Copains », je me défini musicalement comme un Bassite/guitariste de caves sombres qui apprécie de temps en temps prendre la lumière sur scène (dès que j’en ai l’occasion en réalité !). J’ai eu ma première basse à 14-15 ans (une Musima Action Bass précision made in RDA que j’ai ressorti récemment après l’avoir délaissées des années pour une Hondo Alien made in Japan). Je rêve de sculter le corp et le son de ma prochaine basse, une 5 corde… c’est prévu, reste à prendre le temps de s’improviser apprenti luthtier ! C’est avec cette Musima, improbable et vraiment solide (c’est du lourd…) que je commis mes premiers « groove punks » dans la cave de répète du groupe villeurbannais les « Chroniques sauvages » avec Raph (Guitare lead), Yann (batterie) , Fabien (guitare rythmique) et Jérôme (chant).

C’est avec cette bande de potes lycéens que nous nous sommes retrouvés propulsés en année de 1ère sur la scène de la Halle Tony Garnier en première partie d’un autre groupe de rock de la région (Idées noires). Propulsés ou plutôt parachutés ! Habitués aux 12 m² de notre salle de répète, jouer sur une scène de plus de 15m de façade dans une salle aussi vaste de 17.000m² était plutôt surprenant pour notre petit quinquet rock alternatif.

J’aime raconter cette anecdote décalée et déclamer en toute modestie que je suis le premier bassiste (au monde :-D) à avoir envoyé du lourd en 1988 dans cette salle mythique sur la place lyonnaise. Il s’agissait de l’inauguration d’une nouvelle vie pour cette salle du célèbre architecte. Ce jour là,  pratiquement mille associations et autant de stands étaient installés en lieu et place des gradins. C’est par un joyeux concours de circonstances et une belle rencontre avec un prof de français extraordinaire que ce truc improbable a pu avoir lieu.

Après mes années de lycées et la belle aventure du team « Chroniques Sauvages »,  j’ai fondé « Hetéro’clit » avec deux de mes cousins (Laurent au sax et Lionel à la guitare rythmique) et quatre amis (Nico à la guitare lead, Bernard à la batterie, Claire et Dom au chant). Comme le suggère ce nom de groupe (je vous vois venir…), j’ai souhaité rassembler des musiciens d’univers complètement différents.

D’influences allant du classique au jazz, du punk à la pop, de la chanson française au métal en fusion, nos compos ont résonné dans quelques soirées étudiantes lyonnaises comme au B52 ou le Bateau Blanc et autres salles de concert telles que le CC0 de Villeurbanne lors d’un festival mémorable, le « mur du son ».

Migrant du côté de Chambéry pour terminer mes études, toujours beaucoup de musique. Cette fois plutôt avec une guitare à la main (ma fidèle Vantage Entertainar made in Japan), entre amis avec un répertoire de reprises pop/rock que j’ai poursuivi ce grand bœuf qu’est ma vie de musicien. Je me souviens notamment d’une fête de la musique place d’Italie bien arrosée (par de gros orages, je précise…)

J’ai fermé cette première parenthèse musicale de ma vie étudiante par la création, l’organisation et la direction d’une opération pour les Restos du Cœur. Beau projet réalisé le 25 avril 1998 à l’Espace Malraux de Chambéry et rassemblant de belles et talentueuses personnes, musiciens et chanteurs pros et semi-pro de la région Rhône-Alpes et une belle équipe de bénévoles elle-même extrêmement talentueuse et engagée (merci !). « La musique est un cri… du cœur ! » fut une expérience inoubliable sur bien des points et un hub de belles rencontres.

La basse et la guitare globalement au placard pendant de (trop) nombreuses années, c’est grâce à une de mes filles qui prenait des cours de batterie que j’ai remis les doigts sur le manche avec un groupe d’amis. C’est pendant 3-4 ans que les « Mademoiselle Mercury » réunion de Quentin (Guitare rythmique), Matthieu (Batterie), Yvan (Guitare Lead/piano et chant) ainsi qu’Eric (Sax) ont trituré de nombreuses compositions faisant l’aller-retour entre le jazz et le rock !

C’est lors du « Cabaret du Guiers », scène ouverte improbable organisée par un ami dans son jardin que j’ai musicalement rencontré Salim et Guillaume avec qui le son est passé tout de suite !

La suite, c’est Orok et une belle aventure qui se poursuit dans le plaisir, la bonne humeur, l’exploration musicale et le partage !

Un trio, c’est à la fois beaucoup de place pour un bassite et un sacré chalenge… pas vraiment possible de se planquer derrière plusieurs guitares saturées, j’ai la mission de tenir le fond du groove avec Guillaume ! Pas simple mais un sacré plaisir surtout qu’avec Salim en devant de scène, c’est que du bonheur !

Dessin tête de vache rose