Musique
Nos compos origéniales !!!
Orok, le groupe d’orignaux qui vous propose des compositions originales et qu’on espère origéniales !
Laissez notre son de cloche tintinnabuler jusqu’à vos oreilles … Découvrez ici quelques uns de nos morceaux avec notre playlist à écouter.
Ou si vous préférez simplement lire les paroles, vous êtes pile au bon endroit !
En écoute
Le beau son de cloche !
Paroles
Vaches engagées
Bières sur le comptoir au petit déjeuner,
des biscuits apéro en guise de tartine
atmosphère de foire façon Jean-Pierre Genêt,
je soigne la libido de ma caverne palatine.
Brèves de comptoir au petit déjeuner,
des saynètes intimes tirées d’un Bukowski.
Trêve de parloir demande le gosier,
d’assouvir sa soif d’une gorgée de whisky.
On boit souvent à crédit, pour repousser le temps
Boissons haut débit, pour oublier l’instant.
Instantané de vie, tous les jours le nouvel an
La peau tannée d’eau de vie, les stigmates du semblant.
C’est un p’tit bouge de quartier, ou tout le monde se sent bien,
des clients par milliers, refuge des orphelins.
On s’épanche d’amours futiles, sans retenue.
On s’penche sur notre vie stérile, l’air ingénu.
Querelles d’antan, et amours déçues
Les sujets s’entremêlent, deviennent amers.
Passe le temps sur la volonté déchue
qui se noie dans la mousse d’une boisson éphémère.
On a beau être en nage, finalement on se noie,
dans un verre d’orage, de désespoir ou de joie.
La sueur de la treille, nous monte à la tête
Et nous conte merveille, fable de prophète.
Dans ma rue, il y a toujours quelqu’un qui se déhanche
Dans ma rue, il n’y a jamais personne qui fait la manche,
Dans ma rue, que tu sois un Cheyenne un Comanche,
Dans ma rue, jamais d’entrave, vit les coudées franches !
I leave Bou Saada, I leave Bou Saada…
tarak min Africa, tarak min from Africa.
I leave Bou Saada, I leave Bou Saada…
Wusul inch’allah, Wusul inch’allah.
Dans ma rue, tout le monde se salue disant « vieille branche »
Dans ma rue, il n’y a pas besoin de montrer « patte blanche »
Dans ma rue, tu resteras jusqu’à tes mèches blanches,
Dans ma rue, inutile de traverser la Manche…
I leave Bou Saada, I leave Bou Saada…
tarak min Africa, tarak min from Africa.
I leave Bou Saada, I leave Bou Saada…
Wusul inch’allah, Wusul inch’allah.
Dans ma rue, on siffle en faisant des croches, des blanches
Dans ma rue, déambulent des couleurs bleues, oranges…
Dans ma rue, fais des bulles de bonheur bien étanches,
Dans ma rue, se côtoient les normaux, les étranges !
I leave Bou Saada, I leave Bou Saada…
(tarak min) Coming from Africa, (coming) from Africa.
I leave Bou Saada, I leave Bou Saada…
Wusul inch’allah, Wusul inch’allah.
Dans la froideur de leur temple, se trament des manigances,
ces gens qui se ressemblent, décident pour la France.
Ne sont-ils pas des sages ? Garants de démocratie ?
Ceux qui par nos suffrages, perpétuent l’oligarchie.
Oligarchie… Oligarchie…
Caviars et pots de vin, ne subissent pas la crise,
pour ceux qui de droit divin, pêchent par gourmandise.
La Grande Bouffe version fric ! Jusque n’en plus pouvoir…
Ne jamais assouvir sa soif du pouvoir.
Du pouvoir… Du pouvoir…
Copains d’avant de toujours, futurs mannequins de l’élite.
Défilé des beaux atours, microcosme qui hérite.
Une seule et même devise, tous ensemble et tous pourris.
Afin de garder la maîtrise, d’une nouvelle aristocratie !
Aristocratie… Aristocratie…
How can citizen, live as cattle ?
Almost in prison, the need to battle !
Under the yoke, of a legal tyrant,
from the votes, forget those silent !
Poor America, fallen down in trap, trap….
Because of this fool Trum-Trump
as a president.
Strange inhéritance, for all teenagers.
It’s a non sense ! Our mistake is major.
Shimmering dreams, remain the scout,
that we can’t achieve : sustain our doubt !
Poor America, fallen down in trap, trap….
Because of this fool Trum-Trump
as a president.
Poor America, fallen down in trap, trap….
Because of this fool Trum-Trump
as a president.
It’s the same old song together we sang
I remain alone to sing it now
Let me still play these chords there’s nothing new
Open wide your ears, they try to reach you
As far as far as you stand,
My music would cross all the land
So far so far is your hand
I’ll never find this song a end
Sometimes this air takes me to the sky,
Where I meet your shadow floatin’ so high
Dreaming would never stop even the day,
To make me happy to stay away
As far as far as you stand,
My music would cross all the land
So far so far is your hand
I’ll never find this song a end
It’s the same old song together we sang,
Wait and hope for the lyrics the wind to blow
It’s an old memory keeping up links,
Between you and me, and this music…
As far as far as you stand,
My music would cross all the land
So far so far is your hand
I’ll never find this song a end
Wherever my sight run, I see the hate
in the eyes of my husband, just married fate !
Never again, want it to happen,
feeling the pain, (a) life with no sun.
Why can’t you see that ? I fall down on my knees.
And I’m goin’ mad, nobody hear the screams.
Why can’t you see that ? I spend my life with a beast…
with a beast … with a beast !
Raped and abused, in my own bed !
There are no news, from my complain…
Does anyone cares, about muffled cries.
It’s so unfair, a helpless woman dies !
Why can’t you see that ? I fall down on my knees.
And I’m goin’ mad, nobody hear the screams.
Why can’t you see that ? I spend my life with a beast…
with a beast … with a beast !
Humdrum is like a jam ; forever to be stuck.
No time to realize ; … stupid as a duck !
And wheel still turns ; in the same direction,
Let’s keep on hamsters ! Your own destruction.
Why can’t you see that ? I fall down on my knees.
And I’m goin’ mad, nobody hear the screams.
Why can’t you see that ? I spend my life with a beast…
with a beast … with a beast !